
LE DROIT DE TUER de John GRISHAM
496 pages aux éditions Robert Laffont en Octobre 1996 au prix de 19.99 Euros
A la place de 321 depuis le 17 Octobre 2019 - Je l'ai choisi pour la troisième semaine du #theblacknovember concernant a l'item du "thriller judiciaire" - J'aime beaucoup cet auteur que j'ai lu plusieurs titres -

A Clanton, dans le Mississippi, la petite Tonya Hailey est violée et torturée. En sortant du tribunal, Carl Lee massacre les deux accusés, mais Jake, jeune avocat blanc va tout mettre en œuvre pour le sauver, mais le klu klu xan va s'en mêler, tout ne va pas être si simple.
Le judiciaire m'intéresse particulièrement, donc cet auteur as une place particulière, et je sais quand je vais ouvrir un de ces livres, je vais adorer ma lecture, mais celui-ci est vraiment au-dessus, car il met en substance, la vengeance du père et la pire des sentence la peine de mort.
Mais ce livre ne se base pas seulement sur ce procès, mais aussi du racisme, surtout le klu klu xan vient mettre son grain de sel, donc cela met de la tension et aussi de l'action dans ce récit.
Il est aussi basé sur une histoire vraie, et de plus c'est son premier livre édité, et franchement je l'ai considéré vraiment de qualité autant par l'écriture que comment cette affaire est décrite dans un contexte particulier violent ou l'équipe de Jack vont subir beaucoup d'assauts.
Le suspense et la rivalité entre Jack et l'autre partie est vraiment captivante et alimente parfaitement le déroulé de l'histoire, jusqu'à la fin on se demande comme cela va finir.
Le lieu de l'action est aussi important, Clanton, une petite ville du sud avec ses petites rumeurs, le climat lourd et les problèmes raciaux.
Ce qu'il m'a aussi beaucoup plu est toutes les manigances, les manipulations, les dessous d'un procès, moi la fan de judiciaire était complétement dans son élément, j'essaye de ne pas en lire trop souvent, pour surtout pas me dégouter, mais je me rends compte que je prends tellement de plaisir à ce genre de lecture, que je devrais vraiment en lire plus souvent.
La préparation du procès est vraiment bien expliquée, et en étant novice, on peut tout comprendre, le système américain est assez différent du nôtre, mais la finalité reste la même.